Nous voilà en vacances … nous pouvons circuler mais avec des limites frontalières.
Certains s’étaient d’jà installé dans la résidence secondaire, dans une maison de famille, loin du tumulte de la capitale, de l’agglomération bouillonnante habituellement, afin de trouver un cadre de vie agréable.
D’autres se sont trouvés piégés dans leur logement exigu dans lequel il a fallu installer un coin bureau, pour le télétravail, les télé-études …
Une bulle d’oxygène, ces vacances ! Elles tombent à pic !
Mais les possibilités de villégiature sont limitées pour les réservations de dernières minutes !
Nous n’avons pas anticipé et réservé un gite ou se retrouver entre amis, e, famille. Si l’es hôtels sont ouverts, les restaurants sont fermés, c’est la galère !
Les vacances … enfin libre !
Non pas tout à fait dans la réalité quotidienne. Comment libérer cette frustration accumulée au fil des confinement ? Même en vacances, nous restons contraints.
La libération nous étreint.
Pour certains s’est la fête sans limite, les retrouvailles avec les amis, la famille. Les mesures de distanciations sont vite oubliées dans l’euphorie. Pour d’autres ce sera le même lieu de vie, seul, ou en famille.
Mais il reste une petite voix qui nous rappelle qu’il faudra vite oublier tout cela et se remettre dans le carcan réglementaire au retour des vacances.
Les médias rabachent sans cesse, les slogans, les craintes, les risques, la vaccination ..
Même en vacances, nous restons sous la pression ! L’angoisse de la rentrée, du retour au travail, au télétravail, aux études, s’insinue progressivement au fil des jours.
Profitons du moment de pause, des vacances, sans oublier selon nos convictions, que nous vivons une période sensible et que les esprits s’échauffent vite.
Parlons en ensemble, entre amis, en famille, pour que ces craintes en arrière plan ne viennent pas occuper le premier plan. Gardons à l’esprit que ces vacances sont une bille d’oxygène et de détente.