Ne baissons pas les bras
L’approche des fêtes de fin d’année, les consignes sanitaires, les restrictions, les informations contradictoires des médias provoque du stress, encourage le repli sur soi et plus encore l’isolement social.
L’incertitude régnante de revoir les enfants, petits enfants que l’on n’a pas vu de l’année devient insupportable, et c’est bien naturel.
Comment faire taire cette voix ?
Imaginons que nous faisons une course de fond, nous courrons maintenant depuis longtemps, à un rythme soutenu. Nous sommes fatigués, nous avons le souffle court, les tempes qui battent … Nous avons bien vu le panneau indiquant que la ligne d’arrivée est proche.
Ne fléchissons pas, n’abandonnons pas si près de la ligne d’arrivée !
Il serait stupide de jeter l’éponge maintenant, alors que l’objectif que nous nous étions fixés était de passer la ligne de départ et la ligne d’arrivée, quel que soit notre rythme.
Passé cette épreuve, nous allons pouvoir retrouver bientôt nos proches, une fois que cette course folle sera terminée.
Quel est notre objectif profond ?
Noël peut se fêter plus tard, tous réunis ensemble, dans la joie, et surtout sans avoir en arrière pensée le risque que quelqu’un puisse subir ce virus et que tous pâtissent de ses conséquences.